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Nom : Lou
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Prénom : Adria
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Âge : 20ans
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Sexe : Féminin
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Race : Mutante
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Sexualité : hétéro
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Nationalité : Française
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Pouvoirs : Adria considère qu’elle a un pouvoir : Ses yeux ont une faculté encore incontrôlable et surtout inconnue. En effet, elle ne sait jamais ce qu’ils vont faire, ni même ce qu’ils peuvent et savent faire. Cela vient au gré de ses humeurs, qui varient continuellement, comme pour tout « humain » à proprement parler. Ses cheveux changent de couleurs, comme une prévention, puis au tour de ses yeux : lorsqu’ils opèrent, leur couleur devient la même que celle es cheveux. Pouvoirs destructeurs, guérisseurs… Une petite défaillance a son œil gauche, qui eut subit une experience. [À forger]
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En fuite ou non?: oui
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Secteur : B si l'on regarde encore lorsqu'elle était dans Tnatum. Mais comme elle est en fuite, on n'y pense plus.
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Civils ou non?: non
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Métier dans l'établissement : /
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Physique : Son corps atteint la taille d’un mètre soixante-dix, et son poids tourne autour de cinquante-cinq kg. Cheveux toujours longs, et comme dit plus haut, couleur variante selon l’humeur, des cheveux et des yeux. Malgré tout, ses couleurs initiales sont de longs cheveux bruns, et des yeux bleus. Ses cheveux, encore, sont ondulés dans le bas ; ses yeux ont quelques pépites noires. Sa forme du visage est relativement ovale. Son front n’est pas trop saillant. Ses formes ne sont pas extravagantes. Ses pieds sont nus, taillés 38.
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Caractère : Son caractère reste plutôt timide. Mais au cours des problèmes qu’elle rencontra dans sa vie, notamment son caractère mutant, puis ensuite sa vie a Tnatum, son caractère se développa : Premiers abords, timide, parfois gênée. Mais elle apprit par la suite à se défendre. Ses émotions la gagnaient souvent très rapidement ; devenue assez réactive.
D’autre part, elle est relativement rêveuse. Elle se surprenait quelques fois a rêvasser a regarder une branche, un être, ou tout simplement, le vide.
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Histoire :Une histoire alors qu’on est mutant ? Il n’y a pas grand-chose à dire… Sa capture ? Comme pour tous les autres. Sa vie à Tnatum ? Comme pour tous les autres… On peut tout de même noter quelque chose.
Un jour d’automne, les feuilles tombaient à terre, inertes, dénudant les grands troncs. Elle était couchée dans son lit, fixant la fenêtre. Le ciel était gris, et elle percevait un épais nuage noirâtre s’avancer. Il couvrait rapidement toute la surface de sa fenêtre. Elle fermait les yeux, ne voulant pas s’obscurcir les idées avec ce nuage.
Dans un fracas rond, sa porte s’ouvrit. Elle n’avait pas du entendre qu’on l’avait appelé. Elle se redressa lentement, regardant des gens s’approcher d’elle qui avaient la mine trop sérieuse. Peut être même un peu haineuse. Pourquoi pas sournoise. Elle avait bien comprit ce qui l’attendait. Elle sauta de son lit, se précipita vers l’autre bout de la chambre à coucher tout blanche, vers l’unique fenêtre. Elle leur tourna le dos, voulant voir une dernière fois ses feuilles mortes. Oranges, brunes, jaunes. Jamais vertes. Son cœur battait très vite ; elle connaissait ses têtes et ses uniformes. Une amie lui en avait parlé l’un des jours précédent. Un air de dégout se figea sur son petit visage, repensant à la défiguration de son amie. Elle tourna les talons, les regarda l’un après l’autre, et en dénombra quatre. Son cœur accélérait encore. Et encore un peu…Son sang affluait à une vitesse hallucinante. Ses doigts se crispèrent d’énervement. Tandis que ses émotions prenaient forme dans son regard, les quatre hommes, surprotégés, avançaient, et la tenaient déjà presque prisonnière. Un petit rire sadique résonna. Elle fronçait les sourcils, vit que la mèche sur son épaule prenait une couleur approchant le rouge sombre, et ressentit comme un pétillement dans ses yeux. Et soudain, elle ne vit que du noir. Tout paraissait s’être arrêté, comme s’il n’y avait plus rien, juste l’infini. Les autres hommes se sentant menacés, avaient optés pour l’assommer.
Un « bip » à un rythme de métronome cisaillait son vide. Quelques paroles incompréhensibles. Puis finalement elle réussit à distinguer quelques mots :
« - Son comma dur. Cela fait bientôt trois semaines qu’elle est ainsi.
- Au moins son état ne s’affaiblit pas.
- Au contraire.
- Oui, notre opération a l’air d’avoir bien marché. »
C’était donc ca. On l’avait finalement opéré. Des expériences. Elle n’avait plus qu’à espérer que cette fois n’était pas un « raté ».
Elle se réveilla finalement le lendemain. Tout allait bien. Tout était normal. Enfin presque. Elle notait que son œil gauche lui paraissait moins adroit qu’auparavant.
Tout ceci c’était passé une petite semaine avant l’explosion du premier Tnatum. Sa fuite avait était un peu, comment dire, fortuite. Elle n’avait pas du tout entendu parler de cette explosion qui allait venir et détruire le bâtiment entier. Les dégâts qu’avaient produit cette bombe humaine et suicidaire étaient bien plus conséquents certainement que ne l’avait imaginé son créateur. Tout se passa très vite. En un instant un énorme tremblement, puis simplement un souffle ravageur, détruisant chaque murs, chaque piliers du bâtiment. Tout fut comme avalé. Rapidement, tous les mutants comprirent ce qui s’était produit, et tous commençaient déjà à courir vers la liberté, une lueur d’espoir dans les yeux. Malheureusement, les hommes du personnel avaient été vifs et actifs : Ils arrivèrent à capturer les échappés. Adria regardait cette scène se dérouler sous ses yeux, un moment d’inactivité et de perplexité. Elle tressaillit lorsqu’elle s’aperçut qu’on lui prenait le bras brutalement, qu’on la relevait, et qu’on la tirait avec force et volonté. La personne qui la prenait était un mutant inconnu pourvu de bonté et de reflex. Elle comprit qu’il la sauvait, sans même savoir qui elle était.
Ils coururent, sautant au travers des débris, affolés. La liberté était à eux ! Mais elle vit que le pauvre mutant a ses côté était blessé. Il avait dû mal tomber lors de l’explosion… Il commençait à boitiller, et dans une petite brise fraiche il susurra :
« - continue, je ne pourrais pas venir avec toi. Va, court, sauve toi, et ne te fait jamais prendre ! Ne revient jamais…
Elle le regardait droit dans les yeux, terrorisée.
- Mais je peux pas vous laisser là !
Elle remarquait que le regard de l’autre était serein et légèrement mélancolique.
- Va maintenant !
- Merci… » Respira-t-elle, s’efforçant de ne pas gémir de douleur…
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Autre : Sur mon personnage ? Mh, je crois que j’ai déjà dit pas mal
; Sinon, je sais pas trop… Ah si en fait j'aime bien le émoticones xD sont sympa XD
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Dim 13 Juil - 1:26
